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1 mars 2006

Hommage à Purswaerden

Je n'ai aucun reproche à faire aux lecteurs qui ne répondent pas (de quel droit pourrais-je le leur reprocher ?), mais j'éprouve une joie immense quand un lecteur me répond avec intelligence. Le commentaire que je reçois au message "phototogénie" me comble d'aise. Il est signé Purswarden à cause du Quatuor d'Alexandrie de Lawrence Durrell. Dans le petit jeu auquel s'est livré l'auteur, on substitue un observateur à un autre, ce qui produt un autre point de vue. Mais, en dessous, il y a un autre jeu, qui n'est pas celui de la substitution mais celui de la distanciation. Et Purswarden parle ce langage. Que dis-je ? Purswarden est parlé par ce langage. Ou bien, peut-être, ce langage, qui n'est pas parlé dans le texte du roman, est évoqué, sans arrêt, et à tout instant, Mais c'est Purswarden qui l'évoque, entre autres, mais le mieux.

Oh ! Que je souhaite que ce lecteur lise le "Dialogue dans la cathédrale" de Vargas Llorga, qu'il fanchissse le cap dificile de la centième page où s'invente le dialogue ventriloque, et qu'il me dise ce qu'il en pense!

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  • Croire comprendre est seulement avoir l'impression de reconnaitre quelque chose de déjà connu, tandis que déclarer ne pas comprendre indique qu'on a essayé de comprendre et mérite que j'explique.
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