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Ma clé de lecture est la coupure.

Il y a coupure et si vous voulez des ciseaux, en voilà.

Mais, puisqu'il y a coupure qu'est-ce qu'on en fait? D'abord, on le met en vue, et en vie, et voilà.

Mais ensuite, on civilise la coupure, qui va devenir harmonie.  Cà commence à devenir réussi.

Mais qu'est-ce que cette ligne blanche qu'il a fallu mettre pour délimiter le chat ?

Il faut en faire un pavé pour mieux voir. C'est ce que je vois ici, mais je suis saisi par l'harmonie du violet et de la terre verte. C'est personnel car du temps où je pouvais peindre (heureux temps, si loin aujourd'hui!) j'avais été saisi par cette harmonie et m'étais mis à peindre partir de là. Mais je n'avais pas pensé à y ajouter un pavé blanc.

Et je suis parti à rêver dans la problématique du violet et de la terre verte.

Ce n'est qu'une lecture, mais je pense que la lecture doit être active, donc créative, inventive. Le problème, c'est qu'elle fait partie de l'usage de la langue, donc du dialogue et que pour que le dialogue puisse continuer, il faudrait que je prenne des pinceaux.